450 research outputs found

    Phloem-restricted parasites of Palms. Focus on the coconut palm

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    There is a category of palm diseases that raises many investigation problems: lethal diseases caused by phloem-restricted parasites and transmitted by vector insects. The difficulties encountered lie in the impossibility - or at least great difficulty - of growing the pathogen in vitro, and difficulties in identifying the vector. These obstacles to aetiological definition and an understanding of the disease cycle hold back the identification of resistant species or varieties. Since the 1970s, CIRAD has endeavoured to solve some enigmas surrounding these diseases classed "of unknown origin" on two major oil crop species for tropical countries: coconut (Cocos nucifera L.) and oil palm (Elaeis guineensis Jacq.). In the 1970s, use of the electron microscope for aetiological research on diseases of unknown origin became the norm and it resulted in numerous advances. It led to the discovery of the specific association of MLOs (Mycoplasma-Like-Organisms) and lethal yellowing like syndromes of coconut (CLY). MLOs are small wall-less bacteria. They are only located in the phloem (in the sap). The electron microscope also led to the discovery of flagellate protozoa - Trypanosomatidae - associated with wilt diseases in coconut ("Hartrot") and oil palm ("Marchitez sorpresiva") in Latin America. The Hartrot syndrome is similar to the CLY syndrome and the trypanosomes responsible for it are located, like MLOs, in the sap. This decisive aetiological advance was not followed by immediate effects as these two types of microorganisms could not be grown in vitro. That is still the case for all MLOs, known today as "phytoplasmas". But the rapid progress made in molecular biology in the 1990s revealed that there did not exist just one CLY, but several CLYs caused by different phytoplasmas. However, at CIRAD, we have succeeded in culturing trypanosomatids associated with Hartrot or Marchitez. That success has led to major scientific advances on these microorganisms. Vector identification has had mixed fortunes. The vectors of phytoplasma diseases belong exclusively to three groups of insects: Fulgoromorpha, Cicadellidae and Psyllidae. For CLYs, it took twenty years of research in Florida to detect the vector of CLY in Florida: Haplaxius crudus; Cixiidae (Fulgoromorpha). However, it has not been possible to demonstrate the role of that insect in CLY in Jamaica or Mexico. H. crudus does not exist in Africa, where the vector(s) remain(s) unknown. The vectors have been found for Hartrot and Marchitez. They are bugs - Pentatomidae - of the genus Lincus. The insects of this genus, only known in Latin America, seem to live off native palms. For example, they have been found on palms of the genus Astrocaryum in Peru. In the Caribbean, no source of resistance to CLY and/or Hartrot has been identified. Given the other diseases of known or unknown origin, coconut is a highly threatened species in that region. (Texte intégral

    R & D updates on the Lethal Yellowing type diseases of coconut

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    Compte-rendu ACIAR Coconut Meeting, Taveuni (Fiji), 10-12 novembre 1993

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    Compte rendu de mission sur le cocotier en Asie du sud est continentale : Thaïlande, Cambodge, Vietnam. 19/03-02/04/2011

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    Cette mission en Thaïlande, Cambodge et Vietnam nous a permis de constater l'importance prise par le cocotier dans la région Asie du Sud?est, dans la lutte contre la pauvreté ces dix à quinze dernières années. Les planteurs de cocotiers ne sont plus cantonnés à la production de coprah pour des usines et toujours sous le joug des variations brutales du cours des matières premières. Le cocotier aujourd'hui est une filière très diversifiée, orientée vers des produits à haute valeur ajoutée. Les produits phares du cocotier sont maintenant l'eau de coco, l'huile de coco vierge (VCO), le charbon actif pour l'industrie pharmaceutique ou alimentaire. Le marché est quasiment illimité. La demande vient de partout. La Chine, voisin immédiat est en première ligne, preneuse de tous les produits, depuis la noix brute jusqu'aux produits transformés comme le charbon de bois, les fibres, le lait de coco etc. Le Vietnam est très loin de satisfaire la demande chinoise. Mais, les Emirats du Golfe, le Japon, l'Europe et l'Amérique du Nord sont également de gros clients. Les engrais étant très rarement utilisés pour le cocotier, les arbres n'étant pratiquement jamais traités par des produits phytosanitaires, les produits bénéficient donc souvent du label BIO qui ajoute encore de la valeur. Ainsi la VCO dont les études médicales ont montré l'étendue de ces vertus, vaut en Thaïlande et au Vietnam plus cher que beaucoup d'huiles d'olive vierges de France. Le cocotier fournit donc de plus en plus de travail, constant et durable, et bien rémunéré. Le niveau de vie des planteurs de cocotier et des gens qui travaillent sur les produits du cocotier s'est donc considérablement élevé. Les visites de terrain comme celle de la province de Ben Tre au Vietnam nous a permis d'appréhender les nouveaux enjeux de cette filière mais aussi les nouvelles questions de recherche depuis la plante jusqu'aux marchés et ses conséquences en sciences sociales en passant par les changements climatiques. Des possibilités de collaborations bilatérales sont assez facilement envisageables entre le Cirad et les organismes de recherche des trois pays visités. La construction d'un réseau régional sera sans doute plus compliquée de par la différence des niveaux de moyens et/ou de structuration des 3 pays. (Adapté du résumé de l'auteur

    Les jaunissements mortels du cocotier : vers une stratégie de lutte intégrée

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    Les jaunissements mortels du cocotier, dus à des phytoplasmes, ont détruit de nombreuses cocoteraies dans la zone Caraïbe et en Afrique. Ces 20 dernières années, ils ont ravagé les cocoteraies de la côte Atlantique du Mexique, du Honduras et la Jamaïque, laissant des centaines de milliers de familles sans ressources, et atteint de nouvelles îles de la Caraïbe. Plusieurs pays d'Afrique de l'Est et de l'Ouest sont aussi sévèrement touchés. En dépit des programmes internationaux de recherche, principale-ment menés dans la Caraïbe et en Floride, il n'existe pas encore de remède. Le Cirad fait de la recherche sur ces maladies une de ses priorités. (Résumé d'auteur

    Compte-rendu de mission à l'ICRISAT. (International Crop Research Institute for the Serni -Arid Tropics) Hyderabad, Inde. 5-8 Novembre 1988

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    Sur invitation du D r D V R .REDDY de l'ICRISAT, une mission virologie a été effectuée du 5 au 1 8 Novembre dans l'Etat de l 'Andhra Pradesh . Des contacts ont été pris avec les principaux responsables des programmes céréales (sorgho, mil, petit mil en particulier) et légumineuses ( arachide , pois d'ongole et pois -chiche . en particulier ) . Les échanges ont porté plus particulièrement sur les viroses de l'arachide ( Peanut Clump Virus, Tomato Spotted Wilt Virus, Peanut Mottle) et sur les possibilités d ' accueillir à Montpellier un étudiant Indien en thèse de I I Ie cycle . Le problème de bourse d'étude pour cet étudiant a été abordé avec le conseiller scientifique de l'ambassade de France à Delhi . Un voyage d' étude dans le Sud et l' Est de l ' Andhra Pradesh a permis d 'examiner les problèmes de viroses de l'arachide avec le Dr SREEN IVASULU de la S.V.University de Tirupati , de mesurer l'importance du Clump dans la culture de l'arachide dans la région d'Ongole (Côte Est ) et de prendre connaissance de travaux menés sur Polymixa graminis, vecteur du Clump , à l'Université Nagaja à Guntur. La collaboration I CRISAT-Laboratoire de Phytovirologie des Régions Chaudes se traduira début 1989 par l'accueil à Montpellier pour 5 mois d'un virologue Thaïlandais financé par le Peanut CRSP et l'IDRC sur un programme soutenu par le réseau asiatique légumes de l'ICRISAT L'objectif sera de faire le point sur la diversité des souches du Peanut Stripe Virus de différents pays (Inde , Birmanie. Philippines, Chine, Indonésie). En 1990 , une réunion internationale sur les viroses de l'arachide -prolongement des trois réunions du Peanut CRSP sur le virus de la Rosette de l'Arachide qui ont eu lieu entre 1983 et 1987 - pourrait sur proposition de l'ICRISAT se tenir à Montpellier.Enfin, nous avons pu visiter le National Bureau of Plant Genetic Resources de Hyderabad et incidemment pu voir un cas de transmission du Peanut Stripe Virus par la graine dans le cas d'introductions de Birmanie. Un rapport d'activités de Michel PETERSCHMITT, actuellement en stage post doctoral à l'ICRISAT sur les viroses du sorgho, est donné en annexe

    Report on the mission to the Coconut Industry Board of Jamaica, 17-22 May 2010

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    Focalisation sur le Tomato Spotted Wilt Virus sur arachide lors du 19ème congrès annuel de l'APRES

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    L'APRES a tenu son 19ème congrès annuel du 14 au 17 juillet 1987 à Orlando (Floride). Lors de ce congrès, trois sessions différentes se déroulaient simultanément. Une session fut réservée en permanence à la Défense des Cultures - entomologie, mycologie, virologie -, ce qui montre l'importance croissante de ces disciplines dans la culture de l'arachide. Parmi ces problèmes de défense des cultures, le sujet le plus évoqué concerne le virus de la maladie bronzée de la tomate (Tomato Spotted Wilt Virus -TSWV-), puisqu'un symposium spécial lui a été consacré, présidé par D.H. Smith, et pas moins de 8 communications se rapportaient à ce virus ou aux virus apparentés. Ce virus est en effet un des facteurs limitants de la culture de l'arachide en Inde (" Bud necrosis ") et, depuis 1984, il est devenu l'ennemi numéro un des cultivateurs texans. Les pertes dues à ce virus au Texas en l986 sont estimées à 5 millions de dollars. (Résumé d'auteur
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